« Les conditions optimales du meurtre étaient réunies : une foule et un spectacle. Pour le dire de manière claire, alors que deux grosses mains noires se posaient sur la gorge de Rose Rivières, tout le monde regardait ailleurs. » • Le matin du 25 décembre, alors que le spectacle de Noël bat son plein sur la place de la ville de M., Rose Rivières, une jeune femme des environs, est assassinée au beau milieu de la foule. Le comble est que, sur les cinq cents personnes présentes, aucune n’a vu ni entendu quoi que ce soit. Sauf peut-être, cet insolite témoin, abrité sous le parapluie d’Adélaïde… • Romain Puértolas est décidément un maître des coups de théâtre. De fausse piste en rebondissement, tel un Sherlock Holmes, il poursuit une enquête littéraire qui vous mènera là où vous ne vous y attendiez pas ! • Une narration maîtrisée, inventive et enjouée
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Août 2018. Tess part vers la Toscane, où elle doit rejoindre pour les vacances sa fille, Sienna, et l’oncle de la petite, Sacha. Mais, alors qu’elle fait étape chez une amie à Gênes, la maison s’écroule sur elle • Une portion du pont Morandi vient de s’effondrer, enfouissant la zone. Tess est portée disparue. Lorsque Sacha apprend la catastrophe, c’est tout leur univers commun qui vole en éclats. Tous leurs mensonges aussi. Car Sacha n’est pas vraiment l’oncle de cette fillette : il est un acteur, engagé pour jouer ce rôle particulier quelques jours par mois, depuis trois ans. Un rôle qu’il n’a plus l’impression de jouer tant il s’est attaché à Sienna et à sa mère • Alors que de dangereux secrets refont surface, Sacha sait qu’il n’a que quelques heures pour décider ce qu’il veut faire si Tess ne sort pas vivante des décombres : perdre pour toujours cette enfant avec laquelle il n’a aucun lien légal… ou écouter son cœur et s’enfuir avec elle ? En attendant, il décide de cacher la vérité à Sienna et de la protéger coûte que coûte
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Dans le flot de voyageurs qui coulait par saccades vers la sortie, elle était la seule à ne pas se presser. Son sac de voyage à la main, la tête dressée sous le voile de deuil, elle attendit son tour de tendre son billet à l'employé, puis elle fit quelques pas • Quand elle avait pris le train, à Bruxelles, il était six heures du matin et l'obscurité était lourde de pluie glacée. Le compartiment de troisième classe était mouillé lui aussi, plancher mouillé sous les pieds boueux, cloisons mouillées par une buée visqueuse, vitres mouillées, dedans et dehors. Des gens aux vêtements mouillés sommeillaient • À huit heures, juste à l'arrivée à Hasselt, on éteignit les lampes du convoi et celles de la gare. Dans les salles d'attente, les parapluies perdaient des rigoles d'eau fluide qui sentait la soie détrempée
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Voilà longtemps que Nathalie Sabin-Levesque sait à quoi s'en tenir sur les fugues de son mari. Tandis qu'elle sombre peu à peu dans l'alcool, rejetée par l'entourage de ce confortable notaire du faubourg Saint-Germain, Gérard, qui ne l'aime plus, se distrait dans les boîtes de nuit des Champs-Elysées, où les professionnelles le connaissent sous le nom de monsieur Charles • Mais cela fait un mois maintenant que Gérard n'a pas reparu • C'est à l'histoire d'un couple depuis longtemps désuni que Maigret va s'intéresser ici, telle que lui permettent de la reconstituer les témoignages des amis et des domestiques. Et à une femme dont l'ascension sociale aura été payée du prix de la solitude et de la déchéance
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Quand Maigret, avec un soupir de lassitude, écarta sa chaise du bureau auquel il était accoudé, il y avait exactement dix-sept heures que durait l’interrogatoire de Carl Andersen. On avait vu tour à tour, par les fenêtres sans rideaux, la foule des midinettes et des employés prendre d’assaut, à l’heure de midi, les crémeries de la place Saint-Michel, puis l’animation faiblir, la ruée de six heures vers les métros et les gares, la flânerie de l’apéritif… La Seine s’était enveloppée de buée. Un dernier remorqueur était passé, avec feux verts et rouges, traînant trois péniches. Dernier autobus. Dernier métro. Le cinéma dont on fermait les grilles après avoir rentré les panneaux-réclame… Et le poêle qui semblait ronfler plus fort dans le bureau de Maigret
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- Pardon, madame • Après des minutes de patients efforts, Maigret parvenait enfin à interrompre sa visiteuse • - Vous me dites à présent que votre fille vous empoisonne lentement • - C'est la vérité • - Tout à l'heure, vous m'avez affirmé avec non moins de force que c'était votre beau-fils qui s'arrangeait pour croiser la femme de chambre dans les couloirs et pour verser du poison soit dans votre café, soit dans une de vos nombreuses tisanes • - C'est la vérité • - Néanmoins... - il consulta ou feignit de consulter les notes qu'il avait prises au cours de l'entretien, lequel durait depuis plus d'une heure - vous m'avez appris en commençant que votre fille et son mari se haïssent • - C'est toujours la vérité, monsieur le commissaire • - Et ils sont d'accord pour vous supprimer ? • - Mais non ! Justement
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Sans un événement fortuit, le geste de Frank Friedmaier, cette nuit-là, n’aurait eu qu’une importance relative. Frank, évidemment, n’avait pas prévu que son voisin Gerhardt Holst passerait dans la rue. Or, le fait que Holst était passé et l’avait reconnu changeait tout. Mais cela aussi, et tout ce qui devait s’ensuivre, Frank l’accepta
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Ma chère maman, • Voilà trois ans et demi environ que tu es morte à l’âge de quatre-vingt-onze ans et c’est seulement maintenant que, peut-être, je commence à te connaître. J’ai vécu mon enfance et mon adolescence dans la même maison que toi, avec toi, et quand je t’ai quittée pour gagner Paris, vers l’âge de dix-neuf ans, tu restais encore pour moi une étrangère. D’ailleurs, je ne t’ai jamais appelée maman mais je t’appelais mère, comme je n’appelais pas mon père papa. Pourquoi ? D’où est venu cet usage ? Je l’ignore
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Le commissaire Maigret, de la 1re Brigade mobile, leva la tête, eut l’impressionque le ronflement du poêle de fonte planté au milieu de son bureau et relié au plafond par un gros tuyau noir faiblissait. II repoussa le télégramme, se leva pesamment, régla la clef et jeta trois pelletées de charbon dans le foyer • Après quoi, debout, le dos au feu, il bourra une pipe, tirailla son faux col, qui, quoique très bas, le gênait. lI regarda sa montre, qui marquait quatre heures. Son veston pendait à un crochet planté derrière la porte. Il évolua lentement vers son bureau, relut le télégramme et traduisit à mi-voix : «Commission internationale de Police criminelle à Sûreté générale, Paris : Police Cracovie signale passage et départ pour Brême de Pietr le Letton.»
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«Comment s’étaient-ils rencontrés ? Par hasard, comme tout le monde. Comment s’appelaient-ils ? Que vous importe ? D’où venaient-ils ? Du lieu le plus prochain. Où allaient-ils ? Est-ce que l’on sait où l’on va ? Et que disaient-ils ? Le maître ne disait rien, et Jacques disait que son capitaine disait que tout ce qui nous arrive de bien et de mal ici-bas était écrit là-haut.» • D’entrée de jeu, c’est sous le signe de l’incertitude et de l’ironie que Diderot place le roman qu’il publie de 1778 à 1780. Jacques et son maître devisent en voyageant, mais bientôt le récit des amours de Jacques s’interrompt, ouvre à d’autres histoires et à d’autres rencontres dans ce livre admirablement virtuose où la parole circule de narrateur en narrateur. La parole, mais aussi bien la réflexion sur notre liberté et sur le fatalisme qui fait de Jacques un manuel de gai savoir en même temps que ce roman toujours neuf dont l’esthétique de la rupture, de la provocation et du rebond fonde encore la modernité
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Dans ce récit autobiographique, Jean Giono évoque son enfance passée à Manosque, dans une maison haute avec un escalier étroit qui relie la blanchisserie du rez-de-chaussée, où s’active sa mère, Pauline, au troisième où se trouve l’atelier de cordonnier de son père. C’est là que Jean Giono a appris à sentir, à voir et à penser, sous la garde vigilante de sa mère, modelé par la sagesse et la grande bonté de son père. Jean Giono nous raconte aussi les aventures et les drames qui l’ont marqué et sa découverte de la sensualité au cours d’un séjour chez les bergers. C’est sur le départ pour la guerre de 1914 que s’achève ce merveilleux recueil de souvenirs d’enfance, empli de fraîcheur et de tendresse
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Depuis des années, Jacqueline de Romilly essaie de nous faire partager son amour de la langue française. Ce qu’elle veut, c’est nous en donner le goût, en insistant sur les beautés de cette langue plutôt que sur les dangers qui la menacent. À partir d’un mot qu’elle a choisi, elle cherche à en préciser le sens, l’étymologie, ainsi que l’évolution qui, en fonction des changements de la société, des découvertes scientifiques ou des réflexions des écrivains, a chargé ce mot de nuances nouvelles. Réunies ici pour la première fois en un volume, ces promenades dans le jardin des mots nous permettent de contempler, en compagnie du meilleur guide que l’on puisse avoir, l’un des plus beaux paysages du monde, la langue française
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