LES GRANDS TEXTES DU XXe SIECLE • Le Narrateur est entré dans le monde magique des Guermantes, dont le nom, enfant, le faisait rêver lors de promenades à Combray. Voisin de leur hôtel particulier parisien, il cultive son amour pour la duchesse « aux yeux ensoleillés d’un sourire bleu » et son amitié pour son neveu Robert de Saint Loup, alors cantonné dans sa garnison de Doncières. Ce séjour au milieu de ces jeunes officiers compte parmi les épisodes les plus gais et les plus heureux de la Recherche. Dans les salons de madame de Villeparisis, Guermantes elle aussi, il retrouve les foucades énigmatiques du baron de Charlus, figure majeure de cette « race altière » • C’est l’époque où Marcel va connaître la plus grande douleur de sa vie : la maladie et la mort de sa grand-mère, jusqu’au dernier frisson, au dernier murmure de son agonie, sans doute les plus belles pages, merveilleuses et cruelles, de l’œuvre
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Mots autobiographiques, mots intimes, mots professionnels, mots littéraires, mots gourmands... Tous ces mots forment un dictionnaire très personnel. Mais les mots de ma vie, c'est aussi ma vie avec les mots. J'ai aimé les mots avant de lire des romans. J'ai vagabondé dans le vocabulaire avant de me promener dans la littérature. B. P • […] un dictionnaire très personnel où se mêlent la truculence, l’intime pudique et parfois la caducité du lexique, sans prétention. Par courtes touches, Pivot dresse non pas son autoportrait – l’homme ne cède jamais à l’impudeur – mais une épure vivante de ce qu’il est, de ce qu’il fut. Thierry Clermont, Le Figaro littéraire • Pivot aime réanimer les mots perdus, oubliés, délaissés, leur donner une seconde chance, nous persuader de leur nécessité
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Pourquoi la mort s’acharne-t-elle sur Marsac, petite ville universitaire du Sud-Ouest ? • Une prof assassinée, un éleveur dévoré par ses propres chiens… et un mail énigmatique, peut-être signé par le plus retors des serial killers • Confronté dans son enquête à un univers terrifiant de perversité, le commandant Servaz va faire l’apprentissage de la peur, pour lui-même comme pour les siens • « Bernard Minier persiste et signe. Après l'éclatant succès de son premier roman, Glacé, le voilà qui confirme son talent avec Le Cercle. » Le Figaro littéraire • « L'auteur mène son suspense de main de maître et on ralentit sa lecture pour que le livre ne se termine pas. » Version Femina • Prix 2013 des Bibliothèques et des Médiathèques du Grand Cognac
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Pour son adieu au theatre et a la vie, avec une premonition dechirante, Moliere donne une comedie « melee de musique et de danse », un chef-d'oeuvre de force et de gaiete. A 51 ans, epuise, il coiffe le bonnet d'Argan, le malade imaginaire esclave de sa manie et jouet de ses nerfs. Bourgeois hypocondriaque, il pretend marier sa fille, l'impertinente et joyeuse Angelique, a ce nigaud de Thomas Diafoirus, son medecin personnel. Plus pitoyable que mechant, celui-ci reve que la Faculte le recoive comme l'un des siens. Moliere compose la plus puissante satire qu'on fit jamais sur cette science parfois imbecile. Pour faire rire, il fait du faux avec du vrai, et donne le spectacle bouleversant de sa propre agonie
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Deux destins qui s’affrontent, deux conceptions de la vie que tout oppose… • La forêt tropicale semblait retenir son souffle dans la chaleur moite du crépuscule. Assise devant l’entrée de sa hutte, Élianta tourna les yeux vers Sandro qui s’avançait. Pourquoi ce mystérieux étranger, que l’on disait philosophe, s’acharnait-il à détruire secrètement la paix et la sérénité de sa tribu ? Elle ne reconnaissait plus ses proches, ne comprenait plus leurs réactions… D’heure en heure, Élianta sentait monter en elle sa détermination à protéger son peuple. Jamais elle ne laisserait cet homme jouer avec le bonheur des siens • Une histoire satirique qui nous interpelle : notre société permet-elle vraiment à l'homme d'être heureux ? • « Un conte fait de suspense et d’humour
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Un lien bouleversant qui traverse les âges • Quoi de plus public qu’un banc public ? Seulement aux yeux d’Auguste, 85 ans, ce banc, c’est « son » banc, ou plutôt celui de sa femme, qui aimait tant ce parc du Vésinet. Chaque jour, le veuf vient y ruminer sa solitude, ses rapports avec une belle-fille sans gêne, un horizon tout tracé en maison de retraite… Ce jour-là pourtant, il y a quelqu’un d’autre au bout du banc : Philomène, 15 ans, qui vient de perdre sa mère et cherche quelqu’un à qui parler. Lui, l’hiver. Elle, le printemps. Bientôt, tous deux s’apprivoisent et concoctent un projet. Partir. Fuguer. Et dans ce périple improvisé, trouver, peut-être, un sens à la vie… • Cet ouvrage a fait partie de la sélection pour le Prix Maison de la Presse et a reçu le Prix Solidarité
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